Dans une tentative de respect et de participation à tous Ces drames que vivent les humains :
« Une minute de silence pour eux »
Pourquoi cette suspension ? Pour les écouter Pour ne pas rajouter de mots inadéquats Pour leur donner un morceau de nos vies.
Solidarité dans la tête !
Condoléances profondément attristées et impuissantes pour toutes les familles.
Pensées pour tous les sinistrés, collectifs ou individuels, de la terre de ces dernières années et décennies.
Le silence va jusqu’au bout de tout ce qui nous reste à leur offrir et entame ce que nous ne devons plus renchérir.
Sylvie Michèle BRIERE
Les nouvelles conventions économiques ont débouché une fois de plus sur une solution qui n’entraînera pas de ruptures immédiates.
La suite sollicitée auprès de nos Décideurs est de nous donner, à tous, les moyens de produire pour consommer raisonnablement et parfois nous détendre ou nous soigner.
Le partage est une obligation pour une mondialisation réussie et nous sommes des acteurs vivants !
Habitants de la Planète, engageons-nous à relever les manches sans épier, envier, concurrencer notre voisin.
Travaillons comme la nature, nous oblige à le faire.
Un petit effort autant en haut qu’en bas, essayons !
NON A TOUS LES CRACKS : financiers, alimentaires, pacifistes et humains !
NON aux effets retards…. Utilisons nos facultés de parole, de pensée et d’action pour accueillir décemment le 7 milliardième humain !
Peut-on comprendre tous ses faits nommés divers qui s’accumulent au fil de nos vies ? Grégory, Lettitia, Bastien… une femme tous les trois jours…
Le respect de la souffrance, nous associe à l’humanité.
Ne pas l’accepter, nous valide en tant qu’humains.
Ne pas la reproduire, ne nous évite pas toujours de la subir.
Les crimes de guerre, en temps de paix, sont au-delà d’un génocide puisqu’on ne leur donne pas de nom.
Le seuil de tolérance est fixé à quel niveau pour que l’humanité se poursuive ou s’extermine totalement ?