On peut comprendre - Réflexions sur…

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Prévention par la réflexion

Cet article est rédigé pour ce qu’il est et ne prétend pas l’absolue connaissance.

On peut comprendre :

Les dislocations de célébrités qui veulent produire le meilleur encore et toujours et sont, pour cela, obligées de fournir du parfait et ultra parfait.

On comprend moins pourquoi elles se l’exigent et pourquoi on attise cette demande.

Est-ce pour l’argent, la célébrité, l’adrénaline ? Les trois à la fois ?

Reconnaissons, que toutes ces valeurs sont exclusivement terrestres. Qui a la preuve du contraire ? Y a-t-il quelqu’un revenu d’outre-tombe, avec une attestation en trois exemplaires et mille cachets dessus ?

Évidemment, on ne peut pas prétendre que l’inverse est meilleur. La béatitude et la sainteté sont des modèles très marquants invitant à la raison sur cette terre mais pas facile à obtenir.

Le juste milieu, mais vers une forme de perfection, semble être le « modèle » le plus proche d’une vie humaine bien remplie. Il a pour avantage de ne pas détruire, parfois de construire et il génére des désagréments collectifs limités.

Conclusion : « Y a pas beaucoup de monde qui se contente de ne pas faire suer la planète ! »

On peut comprendre

qu’une dame ait du mal à se décider d’arrêter d’avoir des bébés. Normal, si elle considère que c’est son heure de gloire et sa reconnaissance que cette terre.

Il y a un phénomène physique qui accompagne les Vedettes et les Mères ou les sportifs, une accoutumance entre l’effort produit, son effet sur soi et les autres et la retombée de tout cela. Un grand événement bien fastidieux à transformer en « retraite » et repli, voire isolement.

On peut comprendre

qu’un enfant ait du mal à grandir, quelles qu’en soient ses raisons, car l’avenir, le lendemain, peut lui paraître très ardu à remplir et, même sans intérêt. Il suffit pour s’en rendre compte, de regarder deux minutes l’ensemble des bruits que fait le monde. Il y a de quoi avoir un malaise ou de pousser totalement de travers.

C’est une grande décision de sage, ou inversement, se résoudre à pousser de travers !

Peut-on comprendre :

que par peur de manquer, on se mette à engranger des victuailles et des objets de survie lorsque le vent tourne ou qu’une crise s’enlise.

On peut comprendre, sur cette base, l’amas de biens sous toutes leurs formes et surtout de l’argent.

L’instinct de survie est un bricoleur de tous les instants !

Mais est-il facile d’en accepter le processus d’anticipation

celui qui décide par avance la cupidité, la spoliation et leurs innombrables applications ?

Cela dépend toujours de quel côté l’on se trouve.

C’est gonflant le truc du blanc et noir, Ying et Yang, négatif et positif.

Sylvie Michèle BRIERE Fondatrice

Mai 2010 à ce jour, Informations Solidarité Conseils


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