Etre allergique, définir, réagir - Conseils

Mai 2010 à ce jour, Informations Solidarité Conseils

Informations Solidarité Conseils

Le capital santé lorsqu’il est présent à la naissance, s’entretient et se perfectionne tout au long de la vie. Les méthodes sont très diversifiées et se répètent. Dans le ventre de la mère, on fonde sa naissance ; dans la jeunesse, on fonde sa vieillesse.


 

Il n’est pas question ici, des allergies comme celles que l’on peut avoir contre la bêtise, son voisin, les femmes, les mômes, les mecs ou les chats, les araignées, les… !!

Un peu mélangé le descriptif mais efficace pour dire que cet article parle de véritables allergies qui empoisonnent l’existence, de plus en plus de monde. Qu’elles soient respiratoires, alimentaires ou de la peau, les allergies sont des réponses à des phénomènes externes ainsi qu’aux effets de certaines carences ou excès de quelques choses. L’organisme réagit à ce qui ne lui convient pas, en général. Et il se manifeste par une multitude de symptômes des plus bénins aux plus graves et parfois, il faut bien l’écrire, irréversibles.

La peau, par elle-même, est une protection extérieure de l’organisme. Chacun l’a étudié à l’école primaire. Lorsqu’elle défaille sur son système immunitaire ou qu’elle reçoit des agressions, elle fait son boulot de témoin et crie au secours par des rougeurs, des boutons ou bien d’autres visuels. La peau confirme son signal d’alarme en développant une douleur qui, bien que très ennuyeuse, à le bénéfice de manifester un déséquilibre. Le don de notre société d’informations est d’en être arriver à de tels écarts entre la désinformation (surplus ou inadéquation), l’archaïsme et l’information juste ou en recherche, qu’à ce jour les usagers, que nous sommes tous, avons bien du mal à nous y retrouver. La confiance , dénominateur commun à beaucoup de relations humaines, se trouve ronger d’avance.

Conclusion, lorsque l’un d’entre-nous se confronte aux allergies, deux méthodes prévales :

  • l’observation visuelle et/ou le « rapport » de symptômes (je mange des fraises et je vomi ; j’ai mal ici ou là…) + LA CONFIANCE,
  • le contrôle.

La première étape consiste à repérer les aspects visibles comme les tâches ou les éternuements et à relever le moment où ceux-ci se mettent en action. Ensuite, si ils se reproduisent souvent, il faut supposer qu’ils s’installent. Exemple de base : l’exposition au soleil entraînant les éternuements en slave. Le second est à pratiquer après les constats de gêne ou de maux plus lourds et ils consistent à faire des tests pragmatiques comme ceux sous cutanés (injection d’allergènes sous la peau) ET une bonne vieille prise de sang de confirmation avant toutes médications fixes ou récurrentes.

Donc ne pas confondre un épisode allergique et une allergie devenant chronique. En ce qui concerne les tests, eux-mêmes, les allergies étant si nombreuses, la patience et l’ingéniosité sont de mise pour les débusquer. Parfois, elles portent le nom de recombinantes (ou encore d’allergènes recombinants) mais elles ne sont pas moins existantes que les autres. Ses allergies sont seulement celles d’une des limites de la médecine. Il en va ainsi pour à peu près de tous les symptômes que s’installent qu’ils soient d’une origine ou d’une autre. Et le plus vieux remède du monde est toujours composé, au départ, du bon sens.

Les symptômes du corps humains sont aussi des petits pièges à démission car on peut avoir mal à la tête pratiquement pour tout et rien mais aussi ne pas avoir de fièvre, en cas d’infection. Les règles étant là pour être dérogé, le corps en fait une pratique, aussi. Et enfin, si votre médecin est lui-même indisponible, un autre peut faire l’affaire, ils auront en commun au minimum 7 années d’études après le BAC.

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice  

Revenir en haut