Infexions Sexuellement Transmissibles - Conseils, sources diverses

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Le capital santé lorsqu’il est présent à la naissance, s’entretient et se perfectionne tout au long de la vie. Les méthodes sont très diversifiées et se répètent. Dans le ventre de la mère, on fonde sa naissance ; dans la jeunesse, on fonde sa vieillesse.


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IST

Prévention par la vigilance

Cet article est rédigé pour ce qu’il est et ne prétend pas l’absolue connaissance mais juste un partage, si celui-ci vous déplait, ne lisez pas !

La première Prévention est de ne pas s’autoriser à soi-même ce qui n’est pas protecteur ou logique ou encore une inconnue trop risquée, mal évaluée. L’humain est un conquérant qui a fait ses preuves autant dans l’innovation positive que négative. Ce jour, il est possible d’anticiper les aléas avec plus de prudence et de conformité avec la nature. La proposition est donc de valider les découvertes et les leçons de nos prédécesseurs.

Faire preuve de discernement, de retenue et éventuellement de recherche n’a rien de barbant quand le sujet d’intérêt est irréversible ou à potentiel désastreux.

Les autres empêchements aux réalisations et applications d’actes préventifs sont le manque de connaissance mais aussi les cultures ou, encore, ce que l’on nomme les tabous.

La validation de possibles actes dégradants, agressifs ou destructeurs constitue une entrave totale à la bonne marche d’une société ou à celle d’un particulier, donc à ce stade, ces agissements deviennent passibles devant la justice.

Et enfin, il ne semble pas très nouveau que le sexe soit une arme. Elle est utilisée volontairement ou pas, avec consentement ou pas, depuis toujours. La séduction étant sa porte d’entrée et le mensonge ou la sincérité, les clefs.

L’usage conscient de la diffusion d’une maladie (sexuelle ou pas) n’est pas innovateur, non plus. Les aliments empoisonnés et bien d’autres méthodes sordides ont été utilisés à travers les siècles.

La nouveauté, dans la punition de la transmission consciente d’une maladie telle que le Sida, en est sa volonté officialisée et même médiatisée. Cela relève d’un exemple incluant l’idée que l’impunité ne peut pas cautionner de tels actes. En se mettant à la place de la ou des victimes directes (le(s) partenaire(s) occasionnel(s) ou pas) ou collatérales (enfants, conjoints par exemples), une société ouverte et démocratique ne peut que valider une telle législation.

Les motivations qui poussent à de tels comportements sont très nombreuses et toutes plus scabreuses les unes que les autres. Elles sont très proches d’un hors limite, bien que pas tout à fait car l’autorisation validante existe tout de même et à elle seule, elle est le reflet d’une conscience. Elle est seulement cautionnée par l’auteur (mauvais auteur) de l’acte.

Le départ de l’action tient certainement à peu et l’agrément s’amplifie au fur et à mesure par une auto-validation liée à la colère, la jalousie et/ou la méchanceté. Après se rajoutent un tas de prétextes et de raisons ainsi que l’intelligence en manque ou en trop.

Voilà pour la partie consciente d’une transmission.

Pour la transmission sans intention, la prévention dispose de tous ses droits. Ses méthodes sont développées sous des formes toutes plus variées les unes que les autres et chacun peut y puiser l’information qui lui convient.

La première démarche étant peut-être de rencontrer un sexologue pour les uns, un gynécologue pour les autres, le planning familial ou encore une bonne grand-mère à l’écoute, un copain sympa ou une association avec, peut-être, en commun un dénominateur de confidentialité et de respect.

Sylvie.Michèle.Briere-2024

Sylvie Michèle BRIERE, FONDATRICE

sida-info-service.org/ ?-DEPISTAGE-VIH-sida-


Gonococcie et chlamydiose, des IST en recrudescence chez les jeunes (Communiqué)

Entre 2013 et 2015, le nombre de gonococcies a augmenté d’environ 100% chez les HSH (hommes homosexuels-bisexuels), de 32 % chez les femmes hétérosexuelles et de 8 % chez les hommes hétérosexuels. Sur la même période,le nombre d’infections à chlamydia déclarées a crû de 10 % (+ 19 % chez les hommes versus 8 % chez les femmes). En 2016, l’enquête LaboIST a estimé à 267 097 le nombre d’infections à chlamydia diagnostiquées en France et à 49 628 le nombre d’infections à gonocoque2. La raison principale de cette augmentation : les comportements à risque. L’utilisation du préservatif est en chute libre chez les plus jeunes malgré les différentes campagnes qui se sont succédé. Or le préservatif (masculin ou féminin) est à ce jour la seule prévention possible de ces infections.

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