Éditorial ou le vent d’une prévention…

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Éditorial ou le vent d’une prévention…

 Certains vont être contents en opposant qu’ici, à  France Prévention, on fait la politique.

 Et là où ils vont être étonnés, est que l’on peut leur répondre : oui.

 Oui car si essayer d’user de ses droits de vote et de citoyen se nomme politique, nous sommes d’accord. Bonne lecture.


 

Éditorial ou le vent d’une prévention…

Édito :

 La créativité effraie car elle est source de levées de frontières, autant sur le plan physique et pratique qu’intellectuel.

Depuis les premières révolutions industrielles mondiales, son potentiel s’est décuplé, et même si cela est encore très rude, il s’est démocratisé.

 Le droit du citoyen en a été le centre car sans lui, rien n’était et ne sera possible. Nul ne doute qu’il faudra encore beaucoup d’efforts pour être ’égalitaire’, ce qui pourrait se traduire par ’être dans le respect de chacun’ car des erreurs, des abus ou des incompréhensions se glissent dans la vie de tous les jours.

 Le vote est un des moyens le plus élaboré pour faire passer son message, ses opinions et s’engager. Tout cela sans coût financier ou temporel trop élevés, mais aussi, en préservant une intimité totale puisqu’il est secret.

 Il brise les chaînes invisibles dont chacun a une définition différente et propre, bien qu’il y en ait des communes.

 Les résultats de ces votations sont irrémédiablement injustes pour des raisons de logistiques pures. On ne peut pas encore trouver un système de représentation parfait.

 Il en va de même que la « majorité », si elle souhaite rester démocratique, ouverte et représentative d’une nation entière, a pour obligation de s’ouvrir à l’ensemble des résultats. Ce qui est le cas dans les textes.

 Le vote a pour vigilance de demander ses applications.

 La différence, dans un pays aussi structuré que la France, ne doit plus jamais s’associer à intolérance. C’est fini ce temps-là, il est révolu et il est inutile d’y passer tout son temps.

 Donc, en cas de différences, si celles-ci sont si peu supportables (pas délictueuses), juste idéologiques, on passe son chemin et on trouve d’autres copains dans la sérénité.

 La France dispose de structures policière élaborées et totalement efficaces qui permettent de garder le cap.

 Dans le quotidien, il est parfois assez difficile d’observer le respect et ce droit à la disparité. On l’associe souvent au manque (manque de biens matériels, de puissance…) ou sous l’autre versant, au surplus.

 Pourtant en votant, c’est justement un droit aux différences rassembleur, que les citoyens demandent si l’on est conscient d’un pouvoir républicain et démocratique.

 Alors, votons et, toujours, pour chacun de ceux qui se rapprochent des idées et des objectifs souhaités par le citoyen seul dans l’isoloir.

 Puis acceptons les votes qui se justifieront par des compétences solides et porteuses ou l’on repassera par les urnes.

Le souvenir des modes de gouvernance qui ont semés les siècles passés, sur tous les espaces connus, démontrent que tout faire reposer sur UN individu est souvent bien plus dévastateur que constructif.

 Reprenons d’abord, avec sérieux et sans adaptation scabreuse, que les humains doivent vivre dans la solidarité et la cohésion.

 Puis admettons et appliquons, qu’il n’est pas utile de se percevoir comme ennemis, surtout si l’on a jamais échangé plus de 3 mots à la fois lors de rencontres.

 Un peu hors sujet (mais pas tant que ça), il faut cesser de synthétiser ou, à l’inverse, d’analyser tout à outrance.

 Les sentences telles que « si l’on comprend, c’est parce qu’on l’a vécu » (plus particulièrement pour toutes les formes de stress). Cette phrase laisse soupçonner que l’intelligence n’est pas autonome, qu’elle ne peut pas faire ses acquisitions en relation avec elle-même mais bien que sa progression ne se lie qu’à des apprentissages. Ce n’est pas le cas, les deux sont obligatoires et parfois, elles n’ont pas de succès, parfois elles en ont immédiatement ou après des siècles.

 La conclusion porte sur une réflexion que les uns et les autres peuvent accoler à des actifs religieux ou idéologiques dont ils veulent se détacher ou bien au contraire se référencer. 

 Le principe du bien et du mal se présente comme un référentiel permettant des repères, des objectifs et des actions.

L’énergie développée pour l’une (bien) ou l’autre option (mal) sont aussi importantes et même peut-être plus lorsqu’il y a négativisme.

 Ne serait-il pas plus facile de prendre les tendances positives dont on voit que les résultats soulagent ?

 Pour cela, il va falloir être soi et se mettre à la place des autres dans le même instant.

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice

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