« Dépressif » que dit-on par « dépressif » ? - Définition, découverte

dépression, prévention, sante, France, malade, patient, médecins, psychologue, médicaments, internement, hospitalisation

Le capital santé lorsqu’il est présent à la naissance, s’entretient et se perfectionne tout au long de la vie. Les méthodes sont très diversifiées et se répètent. Dans le ventre de la mère, on fonde sa naissance ; dans la jeunesse, on fonde sa vieillesse.


Prévention par la recherche

 Définition selon Ameli La dépression (ou trouble dépressif) est une maladie psychique fréquente qui par ses troubles de l’humeur, perturbe fortement la vie quotidienne. De nombreux facteurs psychologiques, biologiques et environnementaux sont en cause dans sa survenue.

Qu’est-ce que la dépression ?

La dépression appelée dans le langage courant « dépression nerveuse » ne désigne pas un simple coup de déprime ou une tristesse passagère mais une véritable maladie psychique.

Elle se caractérise par des perturbations de l’humeur (tristesse, perte de plaisir). L’humeur dépressive entraîne une vision pessimiste du monde et de soi-même. Elle dure plus de deux semaines et retentit de manière importante sur la vie quotidienne (perte du sommeil, troubles de l’appétit et du désir sexuel, perte des performances intellectuelles, isolement…)

La volonté seule ne permet pas de s’en sortir. C’est pourquoi elle doit être soignée pour ne pas se compliquer ou devenir chronique. Fin de citation


DÉPRESSIF, VE

 

Cette condition conduit vers le suicide quotidien ou définitif et parfois, mieux, vers la guérison.

Le dépressif est une proie favorite des altérés du cœur, il les attire comme les vautours sur une carcasse. Et inversement, le malade s’adonne parfois à des demandes de sauvetages fictifs et/ou permanents.

La nature de la dépression prend sa source dans une situation chronique ou provisoire. Elle puise dans une carence, qu’elle soit affective, physique ou les deux ensemble.

La dépression affective touche des zones inexplorées et strictement individuelles. Le psychisme peut avoir été malmené ou être de nature déficitaire naturellement ou originellement. La complaisance, l’adhérence et même l’addiction à cet état ferme l’issue qui conduit à l’autonomie pour ne pas dire à la liberté. L’entretien de cette situation peut autant venir de l’extérieur que de l’intérieur ou des deux à la fois.

Lorsque la déprime est d’origine physique, il y a sans doute une histoire profonde entre le corps et ses résistances à la fatigue, la maladie, le stress alimentaire ou des conditions de vie hors normes humaines. L’altération morale s’immisce car les carences du corps engendrent celles de l’esprit. Il faut sacrifier quelque chose pour survivre et l’amputation d’un ressenti du cerveau délivre provisoirement le corps.

(Cette description ne fait l’objet d’aucune qualification particulière, elle est le résultat d’une analyse et d’une observation qui vaut ce qu’elle vaut)


Les personnes atteintes de maladies mentales sont souvent placées dans un établissement encore appeler asile, maison pour les fous, alors qu’il s’agit d’un hôpital psychiatrique.

Les malades mentaux sont souvent confrontés à l’absence de conscience de leur pathologie dont l’origine n’est toujours pas très claire.

Leur souffrance est incontournable, elle est si prégnante qu’elle entrave les soins. Par contre, ces derniers sont obligatoires pour réduire la souffrance. Sans encadrement, les malades psychiatriques aggravent leurs situations, ils entravent leurs relations sociales car personne ne les comprend et personne n’arrive à supporter leur décalage quotidien (ce qu’ils sentent et disent, ce qui est une réalité de l’entourage).

En vivant avec eux, on est clairement confronté à de nombreuses mises en danger physiques, des plus simples aux plus compliquées (oubli d’une casserole sur un feu, prendre des médicaments injustifiés, sauter par une fenêtre… Oublier de manger ou de se laver plusieurs jours…) et ici, il n’est pas question des nombreux rapports de force quotidiens (que le malade soit gentil ou agressif) qui épuisent tout l’entourage et détériore largement la qualité de vie de tous ! (malades et entourage)

Être concret n’est pas une maltraitance.

Sylvie Michèle BRIERE, fondatirce

Autres sources et découverte à suivre : fr.news.yahoo.com/ nouvelle-forme-d%C3%A9pression-explique- pourquoi-104949689.html

Le dépressif est un malade pas comme les autres : Le docteur ne sait jamais rien, Son entourage lui doit tout car lui est mAlade, Il n’a jamais les bonnes informations, personne ne l’aide jamais, il exige toujours de tout le monde sauf de lui-même, Il ne fait plus rien et s’arrange pour que les autres décident à sa place, En somme, il devient le centre de lui-même et pour qu’il en sorte son entourage peut crier, flatter, attendre, trépigner, hurler, exiger… attendrir… Tout sera récupéré pour alimenter la dépression du dépressif qui bien-sûr dira qu’il n’a plus envie de vivre alors que son entourage sera à plat de l’aider, tous les jours. Le dépressif reste un imprévisible absolu et se dévalue tellement lui-même que l’entourage est obligé de passer par cette d’évaluation pour lui parler.

Si vous vous êtes reconnus, n’hésitez pas à faire appel à un psychiatre pour que des soins médicamenteux soient prodigués et surtout, qu’ils soient scrupuleusement suivis car bien-sûr le dépressif, évite ses soins.

****

Le dépressif est un malade pas comme les autres :

Le docteur ne sait jamais rien, Son entourage lui doit tout car lui est mAlade, Il n’a jamais les bonnes informations, personne ne l’aide jamais, il exige toujours de tout le monde sauf de lui-même, Il ne fait plus rien et s’arrange pour que les autres décident à sa place, En somme, il devient le centre de lui-même et pour qu’il en sorte son entourage peut crier, flatter, attendre, trépigner, hurler, exiger… attendrir… Tout sera récupéré pour alimenter la dépression du dépressif qui bien-sûr dira qu’il n’a plus envie de vivre alors que son entourage sera à plat de l’aider, tous les jours.

Le dépressif reste un imprévisible absolu et se dévalue tellement lui-même que l’entourage est obligé de passer par cette d’évaluation pour lui parler.

Si vous vous êtes reconnus, n’hésitez pas à faire appel à un psychiatre pour que des soins médicamenteux soient prodigués et surtout, qu’ils soient scrupuleusement suivis car bien-sûr le dépressif, évite ses soins.

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice.

Revenir en haut