Alimentation, choix ou casse-tête ?

Et surtout, plaisir !

Pour se nourrir, les stratégies de chacun se confronte à l’environnement. C’est à dire le lieu de vie, le nombre de personnes à la maison, le budget, l’âge et l’état de santé, etc.

Prévention par une « bonne » alimentation

Le capital santé lorsqu’il est présent à la naissance, s’entretient et se perfectionne tout au long de la vie. Les méthodes sont très diversifiées et se répètent. Dans le ventre de la mère, on fonde sa naissance ; dans la jeunesse, on fonde sa vieillesse.


"Moi je t´offrirai Des perles de pluie Venues de pays Où il ne pleut pas"

(Jacques Brel, Ne me quitte pas)

Et dans ces contrées-là, on ne mange qu’une fois tous les deux ou trois jours…


Les temps sont ce qu’ils sont et le ravitaillement n’est plus aussi fluide qu’à une période. Le gaspillage n’est plus en vogue et on ne va pas le regretter.

Par contre, le sujet de l’inflation et de la nourriture trop chère dans un budget plus bas (malgré les dites augmentations qui ne touchent pas tout le monde) cela devient une crise familiale souvent silencieuse car on ne dit pas qu’on ne peut pas nourrir les siens et pour soi-même, on met le silence.

Comment résoudre ? Faire les courses dans la course aux affaires est fatiguant, lourd et parfois source d’erreurs sur le prix réel, la qualité, la durabilité des produits. Ces choix sont à partager dans la famille ou la maison car plusieurs avis feront la finesse des nouvelles pratiques.

Personne n’est dupe, le commerce reste une activité lucrative et les cadeaux apportent une récompense au marchand, également.

1 - BIO, PAS BIO ?

La logique, totalement lapalissade, veut que lorsque l’on mange sain, on reste en bonne santé ! Comme la disparité est un règne de la nature, on peut rajouter sans crainte :

A - Qu’il y aura des exceptions où les individus ne seront pas en meilleure forme.

B - Que nous ne sommes pas au bout de nos découvertes pour perfectionner nos modes alimentaires et notre hygiène de vie.

C - Que certaines « choses » fonctionnent déjà depuis longtemps et qu’elles ont fait leurs preuves, d’autres sont à lâcher, d’autres arrivent…

D - Ce qui est bon aux uns ne l’est peut-être pas aux autres : les bébés et jeunes enfants ne mangent pas de la même façon que les adultes… la femme enceinte, la fille, le garçon, les sportifs, les plus vieux…

Bio ou pas bio, est un peu radical. L’essai a été trop court et surtout beaucoup trop échantillonnaire. Il ne semble pas négatif en soi donc de risques limités. La controverse arrive par les techniques de cultures qui induisent des incertitudes. Les interdire semble une évidence même si au fond, on peut les réactualiser, les améliorer et ensuite revenir sur leur fonctionnement.

2 - L’obésité devient un sujet très sensible

car il entraîne une culpabilité, un déni, un désarroi, des contraintes et surtout il renforce le risque de maladies.

Les alternatives entre régimes « minceur extra-plat » et l’obésité sont mal définies ou perçues. L’individu ne s’y retrouve pas entre ces deux extrêmes.

Les boissons sucrées sont dans le collimateur et on y rajoute la sédentarisation. Nul doute que les deux facteurs jouent un rôle important dans cette dégradation de la santé mondiale. Mais on peut aussi y rajouter une volonté ou un consentement des individus. Il est clair que les personnes dépendantes aux aliments trop riches ont des ressentis ou des raisons qui les poussent à consommer. La première ne va pas chercher trop loin, il s’agit très certainement d’une paresse ou d’une facilité et d’un refuge créant un confort à ce qui les ennuie dans la vie.

C’est quasiment le principe premier des addictions.

L’ensemble des raisons d’une dépendance a déjà été évoqué dans un grand nombre d’endroits. Le petit plus, ici, serait de dire : STOP aux débats sur le pourquoi et le comment. Cette démarche est strictement individuelle et personnalisée. Celui qui est touché par le sujet peut et sait qu’il peut s’adresser à des spécialistes de la matière et faire son chemin, autant que possible. Sa volonté est la base de la démarche. Si son besoin est un conseil de bon sens, il faut garder en mémoire que le dernier qui valide est le demandeur. La diversité ne fait pas de mal lorsqu’il s’agit d’une communication consentie et explicative honnête… (un autre débat en vue !).

En Europe, nous disposons de nombreux outils, pas toujours facile à utiliser, certes, mais ils sont là.

Ce qui est important à souligner, c’est l’argument de base qui conduira peut-être à accepter ses erreurs :

  • Trop manger n’est pas malin,
  • Ne pas manger suffisamment, ne l’est pas non plus.

3 - Seulement, la santé

ne dépend pas que de la raison, en tout cas notre conscience en est là. Ce qui conduit à écrire qu’il faut faire un panache d’efforts pour vivre mieux. Je te donne et tu me rends en pratiquant un sport, en buvant et mangeant des substances acceptées par le corps, en dormant et en n’abusant pas de tout ce qui est en surplus comme : le sucre, les graisses, les alcools et bien d’autres.

Une petite cuvée de chips dernier cri de temps en temps ou un bonne boisson à bulle bien fraîche, un verre de vin, une glace avec de la chantilly… Mais pas tout à la fois !!

Savez-vous qu’il existe un médecin qui se nomme Nutritionniste ? Bien sur.

Bon appétit !

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